ça y est : j'ai trouvé le rêve de ma vie ... Nomadisme, flanerie, décontration ... un mythe dans les années 70.
Le hic ? revisité, il coûte seulement 69 000 $ que je n'ai pas. Hippie chic mais cher !
ça y est : j'ai trouvé le rêve de ma vie ... Nomadisme, flanerie, décontration ... un mythe dans les années 70.
Le hic ? revisité, il coûte seulement 69 000 $ que je n'ai pas. Hippie chic mais cher !
J'adore ce genre de formule , on peut tout faire avec ... comme les poubelles !
Voilà un défi dont l'info a été recupérée sur un blog : le designer Frédéric TABARY dont on a vu partout la tres belle maison s'est lancé le défi de construire une maison uniquement à partir de déchets (s'il a besoin d'une antenne aixoise, d'un point de chute dans la region, qu'il n'hésite pas !!! je connais tous les bons spots !!!!).
Toi aussi, amateur de poubelles, rejoins la lutte !!!!
Voici les vidéos sur Youtube, nettement plus explicatives que mon post : http://www.youtube.com/watch?v=MEs8dCZhoJs
Spécial cassdedi à Micaela suite à son post "quand le fil devient poésie", voici les oeuvres de l'artiste Marie PAOLI. Avouez qu'il y a un air ....
OOOOOOOOOOOOOh, je suis en admiration .... en lisant ce matin, le blog de Valérie (Happy cult family), j'ai découvert une créatrice que je ne connais pas ... enfin, du moins, je le pensais ... en farfouillant sur son blog, j'ai réalisé que j'avais présenté son appartement il y a quelques temps et certaines de ses créations sur DESIGN SPONGE.
Voici le bestiaire enchanteur et enchanté d'Ann WOOD qui crée bien d'autres choses aussi :
lien : http://annwood.net/blog/
Metteur en scène : James Thierree
Alors ce Raoul, qui est-ce? "Raoul, roi déchu, vit retranché dans une tour qu'il a construite pour se protéger du monde et de ses démons (.) Un beau jour pourtant, un visiteur se présente et vaillamment s'attaque à l'édifice ainsi qu'à son occupant. C'est Raoul lui-même, qui vient libérer sa propre personne". Ce solo schizophrénique semble achever la geste, de poésie, de théâtre, d'art du cirque et de danse, entamée avec "la Symphonie du hanneton", "la Veillée des abysses" et "Au revoir parapluie".